S’il y en a un qui doit se réjouir de l’issue de la guerre, c’est bien le géant pétrolier français qui est bien placé pour faire main basse sur une belle part de l’or noir libyen.
Qui était parmi les tous premiers Français à venir début mars à Benghazi encourager les insurgés libyens ? Un représentant de Total. Et l’entreprise peut aujourd’hui se frotter les mains : l’empressement de l’Elysée à reconnaître le CNT, comme à défendre l’intervention militaire a fait rentrer le groupe dans les bonnes grâces du futur régime.
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